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Unité Neurobiologie intégrative des systèmes cholinergiques
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Vaccins contre la rage, la tuberculose, la polio, découverte du VIH et identification des premiers gènes associés à l’autisme… Derrière chacune des avancées majeures de l’Institut Pasteur, il y a toujours eu l’engagement de nos donateurs.
Aujourd’hui, face aux grands enjeux de santé que sont la résistance aux antibiotiques, les maladies neurologiques, les cancers ou les maladies à transmission vectorielle, le soutien de nos bienfaiteurs est plus que jamais essentiel.
En faisant un don dans le cadre de l’Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI) ou de l’Impôt sur le Revenu (IR), faites aujourd’hui converger votre engagement philanthropique avec l’excellence de nos chercheurs, et soyez à l’origine de nos prochaines découvertes.
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APRÈS
NEUROLOGIQUES
FAIRE RECULER LES
TROUBLES COGNITIFS
TROUBLES COGNITIFS
En 2023, nous avions fait appel à vous pour soutenir les travaux prometteurs de l’équipe de Morgane Besson sur les troubles de la santé mentale. Ceux-ci regroupent un large spectre de pathologies, comme la schizophrénie, les troubles du spectre autistique, ou encore la maladie d’Alzheimer. Pour la majorité d’entre elles, aucun traitement spécifique n’existe à ce jour.
L’équipe du Dr Morgane Besson s’intéresse tout particulièrement aux récepteurs nicotiniques, engagés dans de nombreuses facultés cognitives, comme la mémoire, dont le déficit est impliqué dans de nombreuses pathologies, addictions, troubles cognitifs ou alimentaires.
Résultats : son équipe a développé grâce à vos dons un modèle préclinique de la maladie d’Alzheimer pour tester l’effet de molécules ciblant les récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine.
AUX ANTIBIOTIQUES
DÉCOUVRIR DE NOUVEAUX ANTIBIOTIQUES
La résistance des bactéries, champignons, virus et parasites aux médicaments antimicrobiens entraîne des taux de mortalité plus élevés et une augmentation des dépenses de santé.
L’Organisation mondiale de la Santé a récemment pointé une liste de bactéries prioritaires dont les enveloppes cellulaires composées de deux membranes (didermes) rendent difficile l’entrée des molécules dans la cellule bactérienne. L’équipe du Dr Nienke Buddelmeijer utilise une voie biochimique inexplorée en ciblant l’enzyme Lgt dont elle étudie le potentiel des inhibiteurs.
Perspectives : chercher de petites molécules stables capables d’inhiber l’activité de l’enzyme Lgt afin d’utiliser cette dernière comme nouvelle cible pour développer de nouveaux antibiotiques.
MIEUX LUTTER CONTRE LE CANCER PRIMITIF DU FOIE
Le carcinome hépatocellulaire (CHC) représente 90% des cas de cancers primitifs du foie. Cinquième cause de cancer dans le monde et troisième cause de décès par cancer, il touche particulièrement les populations subsahariennes.
L’équipe du Dr Jean-Pierre Vartanian a démontré qu’un variant enzymatique nommé A3CI188 - présent chez environ 10% des populations d’Afrique subsaharienne - pourrait être impliqué dans ce carcinome. L’objectif est de comprendre le rôle de ce variant dans la cancérogenèse afin de mettre à jour de nouveaux biomarqueurs pertinents et de mettre au point des outils de prévention pour ce carcinome hépatocellulaire.
Perspectives : identifier de nouveaux biomarqueurs du carcinome hépatocellulaire et apporter de nouvelles connaissances sur l’impact des modifications génétiques sur le cancer.
TRANSMISSION
VECTORIELLE
COMPRENDRE LES INÉGALITÉS IMMUNITAIRES FACE À LA DENGUE
La dengue est une maladie virale qui peut être aussi bien asymptomatique que mortelle. En 2022, 2,8 millions de cas ont été recensés dans le monde. En Nouvelle-Calédonie, son incidence est plus élevée chez les personnes d’origine mélanésienne. Avec 70% de personnes européennes dans les études, les données génomiques actuelles ne sont pas représentatives de la diversité génomique humaine. L’équipe du Dr Catherine Inizan cherche à caractériser par des approches génomiques et immunologiques la réponse immunitaire à la dengue et les facteurs génétiques en jeu chez les individus en fonction de leur origine. Les connaissances générées permettront de mieux appréhender la susceptibilité différente des populations océaniennes à la dengue.
Perspectives : ouvrir la voie à des études centrées sur une population souvent peu représentée dans la recherche biomédicale afin d’améliorer la gestion de la dengue dans la région Pacifique.
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• 48 h après la réception de votre don, l’Institut Pasteur met à votre disposition votre reçu fiscal sur votre espace donateur.
LES QUESTIONS FRÉQUENTES
POURQUOI CHOISIR L’INSTITUT PASTEUR POUR VOTRE DON IFI OU IR ?
Face aux fléaux qui menacent notre santé, l’Institut Pasteur rassemble des chercheurs, des ingénieurs et des techniciens afin de développer une recherche médicale transversale multidisciplinaire de pointe.
Ses priorités de recherche sont les maladies infectieuses émergentes (COVID-19, SIDA, Ebola, Zika …), la résistance aux agents antimicrobiens, les maladies de la connectivité cérébrale et neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson …), les cancers, ainsi que la vaccinologie et l’immunothérapie.
En faisant un don à l’Institut Pasteur, vous avez la garantie qu’il est directement affecté aux équipes de recherche et qu’il participe à des progrès essentiels pour la santé de tous.
À VOTRE ÉCOUTE
caroline.cutte@pasteur.fr
01 45 68 81 04
d’utilité publique
habilitée à recevoir
des dons et legs
de la recherche sur
