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LES CANCERS :
UN ENJEU DE SANTÉ PUBLIQUE MAJEUR

Au cours de sa vie, une personne sur deux sera touchée par le cancer. Ce dernier résulte du dysfonctionnement d'une cellule saine sous l'effet d'altérations génétiques. Elle se multiplie alors de manière désordonnée pour former une tumeur, qui détourne à son profit les ressources de l’organisme. Il n'existe pas un mais des cancers, qui ont chacun leur origine et leurs particularités.

Plus que jamais, les chercheurs de l’Institut Pasteur sont mobilisés pour accélérer les recherches sur le cancer et mettre fin à ce fléau.
Les cancers en France
433 136
nouveaux cas de cancers
estimés en 2023
157 400
décès par cancer
estimés en 2023
40%
des cancers peuvent
être évités
Source : Institut national du cancer
433 136
nouveaux cas
estimés en 2023
157 400
décès par cancer
estimés en 2023
40%
des cancers peuvent
être évités
Source : Institut national du cancer

ILS ONT ÉTÉ CONFRONTÉS AU CANCER

Je ne m’attendais pas à ce que le cancer prenne une telle place dans ma vie ; il a tout bouleversé. J’ai eu cette épée…
Je ne m’attendais pas à ce que le cancer prenne une telle place dans ma vie ; il a tout bouleversé. J’ai eu cette épée de Damoclès au-dessus de moi en permanence pendant toute la première phase des traitements, du suivi, des rendez-vous de mois en mois, de semaine en semaine avec l’équipe extraordinaire qui m’a prise en charge. Je n’avais pas conscience que durant toutes les années qui ont suivi ma rémission, car j’ai eu la chance d’avoir le dessus sur la maladie, je serais malgré tout habitée par cette peur qui revient. Psychologiquement, c’est une maladie très éprouvante car on connaît désormais plus précisément notre fragilité.  
Jeanne - 45 ans
En rémission d’un cancer du sein
Au début, je n’ai pas vraiment réalisé, j’ai mis longtemps avant de prendre conscience que j’étais atteinte d’un…
Au début, je n’ai pas vraiment réalisé, j’ai mis longtemps avant de prendre conscience que j’étais atteinte d’un cancer. Ça ne me paraissait pas envisageable. Pas moi. Pas à 25 ans alors que je démarrais ma vie professionnelle. Et puis j’ai dû accepter ce parcours du combattant que l’on connait tous lorsqu’un cancer est déclaré : traitements, annonces, opérations… J’attendais de rendez-vous en rendez-vous, en ressentant de la peur, de l’espoir, en refusant de me dire que le temps était compté. J’ai mis toute mon énergie à conserver un mental d’acier. J’ai été très aidée par mon entourage parce qu’ils ont continué d’agir avec moi comme si tout allait bien, sans s’apitoyer sur mon sort. L’équipe qui s’occupe de moi me parle souvent des progrès de la recherche. Ça m’encourage même si c’est dur.  
Laurence - 27 ans.
Atteinte d'un cancer de l'utérus
Si je devais recenser le nombre de mes proches qui ont été touchés par un cancer, de près ou de loin, je ferais une liste…
Si je devais recenser le nombre de mes proches qui ont été touchés par un cancer, de près ou de loin, je ferais une liste malheureusement très longue. Nous sommes tous susceptibles de découvrir un jour une grosseur suspecte, qui nous fait craindre le pire. Nous sommes trop souvent les témoins d’un proche dont la vie s’effondre après le diagnostic d’un cancer. Je fais partie des malades qui placent tout leur espoir dans les progrès de la recherche. Lorsque je regarde le chemin qui a été accompli entre la prise en charge des malades il y a plusieurs générations, et ce qui se fait aujourd’hui en matière de traitement, c’est spectaculaire. J’ai une grande confiance dans ce qui sera rendu possible demain, pour les nouvelles générations.  
Michel - 63 ans.
En rémission d'un cancer du côlon
Je redoute beaucoup la maladie pour mes proches. Je suis convaincu que c’est grâce aux équipes de chercheurs que des…
Je redoute beaucoup la maladie pour mes proches. Je suis convaincu que c’est grâce aux équipes de chercheurs que des progrès seront faits. Tout ce que j’espère, c’est que mes petits-enfants soient préservés et puissent un jour bénéficier des meilleurs traitements s’ils étaient concernés. C’est un tel drame lorsque le cancer touche les gens qu’on aime !  
Henri - 78 ans.

250 CHERCHEURS
MOBILISÉS
CONTRE LE CANCER

La recherche sur les cancers fait partie des priorités de l’Institut Pasteur. Actuellement, 250 chercheurs sont mobilisés au sein de 52 laboratoires pour faire progresser les découvertes. Leurs objectifs ? Mieux comprendre les mécanismes de la carcinogenèse, mettre au point des diagnostics précoces, ouvrir de nouvelles pistes thérapeutiques mais aussi améliorer les traitements existants pour une meilleure qualité de vie des patients.

CANCERS DU SANG :
IMMUNOTHÉRAPIES
LEUCÉMIES
ET LYMPHOMES
CANCER DU SEIN
ET DE LA PROSTATE
CANCER DE L’OVAIRE
TUMEURS CÉRÉBRALES
MYÉLOMES
MÉLANOME
CANCER DE L’ESTOMAC

CANCERS DU SANG :
RENFORCER LES CELLULES IMMUNITAIRES

Face à certaines leucémies et certains lymphomes, une immunothérapie innovante a déjà fait ses preuves : la thérapie par cellules CAR-T, fondée sur l’amélioration des capacités anticancéreuses des cellules immunitaires d’un patient. En étudiant de plus près ces cellules modifiées, nous avons mis en évidence une capacité inconnue : celle de tuer à distance les cellules cancéreuses en sécrétant une molécule impliquée dans la réponse immunitaire. Mieux comprendre ce mécanisme pourrait permettre d’améliorer la thérapie CAR-T, de l’étendre à d’autres cancers et la personnaliser davantage.
Philippe Bousso
Responsable de l’unité Dynamique des réponses immunes à l’Institut Pasteur
LES PERSPECTIVES
Observer en direct la réaction du système immunitaire au sein d’une tumeur suite à une immunothérapie, grâce à l’imagerie intravitale.
Éviter les rechutes après une immunothérapie, en comprenant les mécanismes d’échappement des cellules cancéreuses.
Ouvrir de nouvelles perspectives thérapeutiques, et étendre les thérapies existantes à de nouveaux cancers à tumeurs solides.

LEUCÉMIES ET LYMPHOMES :
MIEUX COMPRENDRE CES CANCERS POUR MIEUX LES COMBATTRE

Pourquoi une cellule saine devient-elle cancéreuse ? Pour répondre à cette question, nous cherchons à identifier et à caractériser les mécanismes par lesquels certaines cellules de notre système immunitaire – les lymphocytes – acquièrent des aberrations génétiques à l’origine de leucémies ou de lymphomes. En identifiant les mécanismes et les facteurs spécifiques à chaque type de cancer lymphoïde, nous espérons ouvrir la voie à des traitements ciblés des leucémies et des lymphomes.
Ludovic Deriano
Responsable de l’unité Intégrité du génome, immunité et cancer à l’Institut Pasteur.
LES PERSPECTIVES
Comprendre chez les patients l’origine des anomalies génétiques associées à leurs cancers.
Identifier grâce au criblage génétique et protéomique à haut débit des cibles thérapeutiques pour la mise au point de nouveaux traitements.

CANCER DU SEIN ET DE L’OVAIRE,
RÉVOLUTIONNER LA CHIRURGIE GRÂCE À L’IA

Il est aujourd’hui possible pour un chirurgien de préparer une intervention en s’immergeant dans les images médicales des patientes.
Nous avons créé un logiciel combinant de multiples algorithmes, permettant d’intégrer n’importe quel type de données tridimensionnelles en réalité virtuelle afin de mettre en valeur l’interface entre la tumeur et son environnement. Un outil qui permet de planifier une chirurgie en quelques dizaines de secondes mais aussi d’ouvrir de nouvelles perspectives aux chirurgiens dans des choix qui jusque-là étaient faits durant l’opération ou par intuition.

Jean-Baptiste Masson
Responsable de l’unité Décision et processus Bayesiens à l’Institut Pasteur
LES PERSPECTIVES
Développer des programmes d’apprentissage automatique permettant de contrôler l’apparence des données 3D, la transparence et les couleurs.
Favoriser une chirurgie de précision.
   
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CANCERS DU SEIN ET DE LA PROSTATE :
CIBLER L’ENVIRONNEMENT DE LA TUMEUR

Les tumeurs détournent les ressources de l’organisme pour se développer : elles modifient les cellules saines de leur environnement, appelées « stromales ». Dans certains cancers, comme du pancréas ou du sein, la masse tumorale peut contenir jusqu’à 50 % de ces cellules, formant une sorte de cocon. Nous utilisons des techniques de pointe pour cibler des cellules spécifiques de cet environnement, et ainsi aider le système immunitaire et les traitements à détruire la tumeur, une possibilité longtemps ignorée en cancérologie.

Lucie Peduto
Responsable de l’unité Stroma, inflammation et réparation tissulaire à l’Institut Pasteur
LES PERSPECTIVES
Comprendre les mécanismes de différenciation des cellules stromales, et leur interaction avec les cellules cancéreuses.
Agir sur l’environnement tumoral pour réduire la résistance aux immunothérapies, et stimuler le système immunitaire.
Mener des essais cliniques en combinant les thérapies, pour obtenir des effets à long terme sur les tumeurs.
EN SAVOIR PLUS
CANCERS DU SEIN ET DE L’OVAIRE : DÉCOUVREZ COMMENT NOS CHERCHEURS RÉVOLUTIONNENT LEURS CHIRURGIES GRÂCE À L’IA

CANCER DE L’OVAIRE :
INDIVIDUALISER LA PRISE EN CHARGE GRÂCE À L’IA

Dans le cadre du programme DECIDER qui réunit 14 organismes de 7 pays européens, nous concevons des algorithmes d’Intelligence Artificielle (IA) pour définir et identifier les sous-types de cancer et les médicaments qui leur correspondent, à partir d’un ensemble de données de patientes : images, données cliniques, génomiques, protéomiques… Chercheurs et cliniciens auront accès à une plateforme rassemblant des logiciels prédictifs et de diagnostic.

Benno Schwikowski
Responsable du laboratoire Biomédecine computationelle des systèmes à l’Institut Pasteur
LES PERSPECTIVES
S’appuyer sur l’intelligence artificielle (IA) pour repérer et caractériser les cellules résistantes et préconiser un autre médicament pour les détruire.
Élaborer des algorithmes «explicables» pour pouvoir interpréter les résultats obtenus par IA.
Aller vers une médecine personnalisée grâce à l’IA.

TUMEURS CÉRÉBRALES :
BLOQUER L’INVASION CANCÉREUSE

Les glioblastomes et les gliomes sont des formes très invasives de tumeurs du cerveau. Nous avons identifié des gènes impliqués dans le développement d’une forme très agressive de telles tumeurs cérébrales. Cette découverte pourrait nous conduire à proposer dans le futur des thérapies ciblées pour prévenir l’invasion cancéreuse. Nos travaux pourraient ouvrir de nouvelles pistes de traitements !
Sandrine Etienne-Manneville
Responsable de l’unité Polarité cellulaire, migration et cancer à l’Institut Pasteur
LES PERSPECTIVES
Mettre au point un test pronostique pour aider à renforcer l’efficacité des traitements.
Favoriser l’élaboration de traitements ciblés adaptés à chaque patient.

MYÉLOMES :
UNE MOLÉCULE ANTI-CANCER

En étudiant une maladie tropicale négligée, nous avons découvert une molécule bactérienne possédant une puissante activité anti-cancéreuse : la mycolactone. Cette toxine est en effet capable d’empêcher les cellules cancéreuses de communiquer avec l’extérieur, et d’une manière bien plus puissante que tous les inhibiteurs connus à ce jour ! Nous l’étudions actuellement dans un modèle de myélome multiple, un cancer de la moelle osseuse.
Caroline Demangel
Responsable de l’unité d’Immunobiologie de l’infection à l’Institut Pasteur
LES PERSPECTIVES
Étendre nos études du potentiel anti-tumoral de cette toxine à d’autres cancers.
Mesurer l’effet curatif de la mycolactone.
Renforcer l’action des thérapies existantes en les combinant à ce nouvel agent anticancéreux.

MÉLANOME :
RENFORCER L’EFFICACITÉ D’UNE IMMUNOTHÉRAPIE

Nous venons de démontrer le rôle capital de la flore intestinale dans le succès d’une immunothérapie chez des patients souffrant d’un mélanome métastatique. Lorsque la flore intestinale est dépourvue de deux bactéries particulières, l’immunothérapie n’est plus efficace contre la tumeur. En revanche, la colonisation de la flore intestinale par l’une ou l’autre de ces bactéries est nécessaire et suffisante pour restaurer l’effet du traitement et diminuer les effets secondaires (colite inflammatoire).
Ivo Gomperts Boneca
Responsable de l’unité de Biologie et génétique de la paroi bactérienne à l’Institut Pasteur
LES PERSPECTIVES
Élaborer un test prédictif de réponse à ces traitements par des analyses de la flore intestinale.
Reconstituer la flore intestinale et restaurer l’effet antitumoral de l’immunothérapie.

CANCER DE L’ESTOMAC :
DÉTECTER LA TUMEUR PLUS TÔT

En collaboration avec des équipes de l’Assistance publique des Hôpitaux de Paris et des équipes de l’lnstitut Pasteur, nous avons caractérisé une combinaison de biomarqueurs détectable dans le sang, en cours d’investigation. Celle-ci permettra de prédire la présence de lésions précancéreuses et cancéreuses de l’estomac, pouvant être asymptomatiques. Notre objectif est de mettre au point un test non-invasif pour identifier les personnes à risque de développer un cancer gastrique et les détecter au plus tôt. Celles-ci pourront alors être dirigées vers des examens médicaux plus poussés, afin de stopper l’évolution du cancer de l’estomac.
Eliette Touati
Chercheuse dans l’unité de Pathogenèse de Helicobacter à l’Institut Pasteur
LES PERSPECTIVES
Valider les bio-marqueurs permettant un diagnostic précoce du cancer.
Mettre au point un test diagnostic par une méthode non-invasive pour la détection des patients à risque de cancer gastrique.
Augmenter les chances de guérison des patients ayant déjà des lésions cancéreuses.
   
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CANCER DE L’ESTOMAC :
DÉTECTER LA TUMEUR PLUS TÔT

En collaboration avec des équipes de l’Assistance publique des Hôpitaux de Paris et des équipes de l’lnstitut Pasteur, nous avons caractérisé une combinaison de biomarqueurs détectable dans le sang, en cours d’investigation. Celle-ci permettra de prédire la présence de lésions précancéreuses et cancéreuses de l’estomac, pouvant être asymptomatiques. Notre objectif est de mettre au point un test non-invasif pour identifier les personnes à risque de développer un cancer gastrique et les détecter au plus tôt. Celles-ci pourront alors être dirigées vers des examens médicaux plus poussés, afin de stopper l’évolution du cancer de l’estomac.

Eliette Touati
Responsable de l’équipe « Infection, Génotoxicité et Cancer » à l’Institut Pasteur
LES PERSPECTIVES
Valider les bio-marqueurs permettant un diagnostic précoce du cancer.
Mettre au point un test diagnostic par une méthode non-invasive pour la détection des patients à risque de cancer gastrique.
Augmenter les chances de guérison des patients ayant déjà des lésions cancéreuses.
EN SAVOIR PLUS
DÉTECTER LA TUMEUR PLUS TÔT

CANCER DU CÔLON :
COMPRENDRE L’IMPACT DES MUTATIONS GÉNÉTIQUES

Des mutations du gène APC sont à l’origine d’une forme de cancer colorectal rare et héréditaire particulièrement meurtrière : la polypose adénomateuse familiale. Nous savons aujourd’hui que ces mutations perturbent le fonctionnement des cellules du côlon mais aussi celles du système immunitaire. Un nouveau projet de recherche clinique a été mis en place, nous permettant d’étudier le comportement des lymphocytes malades et de montrer la défaillance de leur migration vers les tumeurs, ainsi que du contrôle de l’inflammation locale. Autant de conditions favorables au développement de cancers.
Andrés Alcover
Responsable de l’unité de Biologie cellulaire des lymphocytes à l’Institut Pasteur
LES PERSPECTIVES
Restaurer le fonctionnement normal des lymphocytes T chez les patients atteints de polypose adénomateuse familiale.
Mieux cerner le rôle de la protéine APC dans le développement des cancers intestinaux.
Approfondir nos connaissances des mécanismes de l’immunité antitumorale.
J’AGIS AUX CÔTÉS
DES CHERCHEURS

POURQUOI SOUTENIR L’INSTITUT PASTEUR ?

Votre place à nos côtés est fondamentale
Depuis plus de 130 ans, l’histoire de l’Institut Pasteur s’écrit grâce à la générosité du public. C’est à nos donateurs que nous devons nos plus belles découvertes et nos plus grandes victoires contre les maladies. Aujourd’hui, une véritable course est engagée contre les cancers et les chercheurs de l’Institut Pasteur ont besoin de vous pour la mener. Votre générosité est le moteur de notre action.
%
du montant de votre don
est déductible de votre Impôt
sur le Revenu

(dans la limite de 20 % de votre revenu imposable)
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du montant de votre don
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sur la Fortune Immobilière

(dans la limite de 50 000 €)

L’INSTITUT PASTEUR,
UN CENTRE DE RECHERCHE MONDIALEMENT RECONNU

3 032
chercheurs
et collaborateurs
1
microscope, Titan, le plus
puissant du monde
32
plateformes technologiques
et d’accompagnement à la recherche
900
étudiants
10
Prix Nobel
7
centres collaborateurs
de l’OMS
14
centres nationaux de référence
pour la surveillance des maladies
infectieuses en France métropolitaine
142
entités de
recherches
Membre du Pasteur Network,
réseau présent sur les
5
continents
3 032
chercheurs
et collaborateurs
1
microscope, Titan, le plus
puissant du monde
32
plateformes technologiques
et d’accompagnement à la recherche
900
étudiants
10
Prix Nobel
7
centres collaborateurs
de l’OMS
14
centres nationaux de référence
pour la surveillance des maladies
infectieuses en France métropolitaine
142
entités de
recherches
Membre du Pasteur Network,
réseau présent sur les
5
continents

130 ANS DE DÉCOUVERTES AU SERVICE DE NOTRE SANTÉ

Faites défiler la frise pour découvrir les grandes dates de l’histoire de l’Institut Pasteur.
1885
Mise au point du vaccin
contre la rage
1894
Identification du bacille
de la peste
1921
Mise au point
du BCG
1932
Mise au point d’un vaccin
contre la fièvre jaune
1954
Mise au point d’un vaccin
contre la poliomyélite
1983
Découverte du virus
du sida (VIH)
1985
Mise au point d’un vaccin
contre l’hépatite B
1989
Mise au point d’un test
de diagnostic rapide
de la tuberculose
1995
Identification de gènes responsables de surdités héréditaires
2006
Détermination de l’histoire
évolutive du virus Chikungunya
2008
Nouvelle source de neurones
identifiée dans le cerveau
adulte
2009
Mise au point d’un test de
diagnostic rapide du nouveau
virus de la grippe A (H1N1)
2014
Identification d’une nouvelle variante du virus Ebola
en Guinée
2019
Nouvelles pistes
contre le VIH/sida
2020
Séquençage du génome complet du coronavirus de Wuhan, 2019‑nCov et mise au point des tests de détection directe du virus
2020/21
Mobilisation de 500 chercheurs
contre la Covid-19 (modélisations
de l’épidémie, étude du virus,
de l’immunité, etc.)
2022
Développement d'anticorps monoclonaux contre le Sars-Cov2
2023
Découverte d'un nouveau virus de l'hépatite humaine