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Cancer
L’immunothérapie est une avancée majeure dans la lutte contre le cancer

Notre système immunitaire a aussi la charge de la surveillance et de l’élimination des cellules cancéreuses. En étudiant ces mécanismes, l’unité Dynamiques des réponses immunes cherche à développer de nouvelles immunothérapies pour traiter les cancers, et améliorer les traitements existants.

 
Les immunothérapies anticancéreuses offrent aujourd’hui des perspectives de personnalisation avancées, par exemple avec les cellules CAR-T, produites à partir des cellules immunitaires de chaque patient. Les récentes avancées technologiques, notamment dans les domaines de l’imagerie ou du séquençage, ont éclairci les relations complexes entre système immunitaire et tumeurs, et nous aident à identifier les forces et les faiblesses des immunothérapies en vue de les améliorer encore.

Philippe Bousso, responsable de l’unité Dynamiques des réponses immunes à l’Institut Pasteur

Pr Philippe Bousso
J’écoute le témoignage audio du
Pr Philippe Bousso,

responsable de l’unité Dynamiques
des réponses immunes à l’Institut Pasteur.
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Cancer
Explorer en temps réel l’impact des immunothérapies

L’équipe de Philippe Bousso utilise l’imagerie intravitale pour visualiser en direct, au cœur de la tumeur, les effets des immunothérapies. Ils peuvent ainsi en identifier leurs modes d’actions et leurs limites, afin d’élaborer des stratégies d’optimisation. Leurs travaux ont déjà permis de mettre en lumière certaines défaillances des anticorps monoclonaux utilisés pour traiter les lymphomes B, ouvrant de nouvelles pistes thérapeutiques pour booster leur efficacité.

Macrophages (en vert) s’attaquant aux cellules tumorales (en rose) après l’injection d’une immunothérapie.

Cancer
Cellules CAR-T : vers une thérapie personnalisée

L’équipe de Philippe Bousso travaille sur les cellules CAR-T, un type d’immunothérapie anti-cancéreuse personnalisée. Les CAR-T sont en effet des cellules immunitaires prélevées chez un patient, modifiées pour cibler sa tumeur puis réinjectées afin de renforcer ses défenses. Cette personnalisation du traitement produit déjà des résultats prometteurs, notamment sur les tumeurs type lymphomes ou leucémies B. Améliorer ces traitements et les étendre à d’autres types de cancers restent des objectifs très importants.

Cellules CAR-T (en bleu) au sein d’une tumeur

Cancer
Comprendre comment les tumeurs échappent aux traitements

L’équipe de Philippe Bousso étudie les relations entre les mutations des cellules tumorales et l’activité du système immunitaire. Les immunothérapies peuvent notamment façonner les cellules cancéreuses et faire émerger des mutations leur permettant d’échapper au système immunitaire. La compréhension de ces processus est essentielle pour optimiser les traitements anti-cancéreux et limiter les rechutes.

Tumeur de la prostate (en bleu) et cellules de « soutien » (en rouge)

Cancer
Des anticorps contre certains cancers

L’équipe de Pierre Bruhns étudie le mécanisme d’action d’anticorps thérapeutiques déjà utilisés contre le cancer du sein et certains lymphomes. Elle travaille également sur un anticorps thérapeutique en développement qui cible le mélanome. Ces travaux devraient permettre d’optimiser les traitements de ces différents cancers.

Tumeur de la prostate (en bleu) et cellules de « soutien » (en rouge)

L’immunothérapie est une avancée majeure dans la lutte contre le cancer

Notre système immunitaire a aussi la charge de la surveillance et de l’élimination des cellules cancéreuses. En étudiant ces mécanismes, l’unité Dynamiques des réponses immunes cherche à développer de nouvelles immunothérapies pour traiter les cancers, et améliorer les traitements existants.

Pr Philippe Bousso
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responsable de l’unité Dynamiques
des réponses immunes à l’Institut Pasteur.
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Les immunothérapies anticancéreuses offrent aujourd’hui des perspectives de personnalisation avancées, par exemple avec les cellules CAR-T, produites à partir des cellules immunitaires de chaque patient. Les récentes avancées technologiques, notamment dans les domaines de l’imagerie ou du séquençage, ont éclairci les relations complexes entre système immunitaire et tumeurs, et nous aident à identifier les forces et les faiblesses des immunothérapies en vue de les améliorer encore.

Philippe Bousso, responsable de l’unité Dynamiques des réponses immunes à l’Institut Pasteur

L’équipe de Philippe Bousso utilise l’imagerie intravitale pour visualiser en direct, au cœur de la tumeur, les effets des immunothérapies. Ils peuvent ainsi en identifier leurs modes d’actions et leurs limites, afin d’élaborer des stratégies d’optimisation. Leurs travaux ont déjà permis de mettre en lumière certaines défaillances des anticorps monoclonaux utilisés pour traiter les lymphomes B, ouvrant de nouvelles pistes thérapeutiques pour booster leur efficacité. Macrophages (en vert) s’attaquant aux cellules tumorales (en rose) après l’injection d’une immunothérapie.

L’équipe de Philippe Bousso travaille sur les cellules CAR-T, un type d’immunothérapie anti-cancéreuse personnalisée. Les CAR-T sont en effet des cellules immunitaires prélevées chez un patient, modifiées pour cibler sa tumeur puis réinjectées afin de renforcer ses défenses. Cette personnalisation du traitement produit déjà des résultats prometteurs, notamment sur les tumeurs type lymphomes ou leucémies B. Améliorer ces traitements et les étendre à d’autres types de cancers restent des objectifs très importants. Cellules CAR-T (en bleu) au sein d’une tumeur

L’équipe de Philippe Bousso étudie les relations entre les mutations des cellules tumorales et l’activité du système immunitaire. Les immunothérapies peuvent notamment façonner les cellules cancéreuses et faire émerger des mutations leur permettant d’échapper au système immunitaire. La compréhension de ces processus est essentielle pour optimiser les traitements anti-cancéreux et limiter les rechutes. Tumeur de la prostate (en bleu) et cellules de « soutien » (en rouge)

L’équipe de Pierre Bruhns étudie le mécanisme d’action d’anticorps thérapeutiques déjà utilisés contre le cancer du sein et certains lymphomes. Elle travaille également sur un anticorps thérapeutique en développement qui cible le mélanome. Ces travaux devraient permettre d’optimiser les traitements de ces différents cancers. Tumeur de la prostate (en bleu) et cellules de « soutien » (en rouge)

L’immunothérapie a redonné espoir aux patients atteints de maladies auto-immunes

Une maladie auto-immune se caractérise par la présence d’auto-anticorps qui conduisent à la destruction de nos propres cellules. Ces maladies touchent environ 5 millions de personnes en France et constituent le troisième groupe de maladies en termes de morbidité et de mortalité dans les pays industrialisés, après les cancers et les maladies cardiovasculaires. Aujourd’hui, si des traitements permettent de freiner leur évolution, elles restent majoritairement inguérissables. Le traitement des maladies auto-immunes vise globalement à contrôler et réduire la réponse immunitaire et l’inflammation, par exemple à l’aide d’anticorps thérapeutiques.

Pr Pr Pierre Bruhns
J’écoute le témoignage audio du Pr Pierre Bruhns,
responsable de l’unité des Anticorps
en thérapie et pathologie à l’Institut Pasteur.
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L'immunothérapie par l'administration d‘anticorps monoclonaux a révolutionné le traitement de certaines maladies auto-immunes. Certains anticorps ciblent et capturent des molécules solubles impliquées dans les inflammations chroniques (arthrite rhumatoïde, psoriasis). D’autres ciblent des cellules responsables de la maladie et permettent au système immunitaire de les détruire (thrombocytopénie, lupus, sclérose en plaque). L’immunothérapie peut conduire à une rémission durable, voire une guérison.

Pierre Bruhns, responsable de l’unité des Anticorps en thérapie et pathologie à l’Institut Pasteur.

L’équipe de Pierre Bruhns développe actuellement un anticorps thérapeutique capable de bloquer les récepteurs responsables de la destruction des plaquettes dans la thrombopénie auto-immune, et des globules rouges dans l’anémie auto-immune. L’équipe cherche à démontrer son intérêt dans la vascularite systémique (maladie très douloureuse caractérisée par une inflammation des vaisseaux sanguins). Interaction entre un lymphocyte (en jaune) et une cellule dendritique (en vert). Les cellules dendritiques présentent aux cellules immunitaires les antigènes. Lorsque cet échange implique des molécules du soit, il peut déclencher des réactions auto immunes.

Les anticorps monoclonaux seront un outil de lutte privilégié contre les maladies infectieuses comme la Covid-19

Les anticorps monoclonaux sont fabriqués en laboratoire, en partant des cellules du système immunitaire qui produisent les anticorps et qui se sont développées en réponse à une infection naturelle ou à un vaccin. Ils complètent l’arsenal thérapeutique à notre disposition pour prévenir et lutter contre les maladies infectieuses. Leur avantage est d’être issu d’un processus de production industriel bien maîtrisé, d’être très bien toléré par l’organisme et d’agir rapidement tout en pouvant offrir une protection pouvant aller jusqu’à quelques mois.

Pr Hugo Mouquet
J’écoute le témoignage audio du
Pr Hugo Mouquet,

responsable du laboratoire d’Immunologie humorale.
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Les immunothérapies par anticorps monoclonaux sont porteuses d’espoir pour la lutte contre les maladies infectieuses, et sauvent déjà des milliers de vies. Les avancées de la recherche et l’accélération de la production industrielle permettent aujourd’hui de les produire plus rapidement et à plus bas coût. La Covid-19 en a apporté la preuve : deux anticorps monoclonaux, SPK001 et SPK002, ont été développés en un an grâce aux travaux de l’Institut Pasteur et de la société SpikImm, offrant un nouvel espoir aux patients immunodéprimés.

Hugo Mouquet, responsable du laboratoire d’Immunologie humorale.

Une demande internationale de brevet a été déposée par l’équipe d’Hugo Mouquet et l’Institut Pasteur, afin de développer un traitement préventif contre les formes graves de la Covid-19 avec la société SpikImm. Les essais cliniques de l’anticorps monoclonal SPK001 ont démarré en octobre 2022 et se sont vu attribuer le label de « Priorité nationale de recherche » par le gouvernement. Cellule ciliée (en vert) infectée par le SARS-CoV-2 (en bleu).

L’équipe d’Hugo Mouquet est parvenue à caractériser une centaine d’anticorps monoclonaux présentant un intérêt contre le virus du chikungunya, qui a fait son apparition en Europe en 2007 et contre lequel il n’existe à ce jour aucun traitement. Les chercheurs étudient à présent les caractéristiques antivirales de ces anticorps candidats, afin de déterminer lesquels feront l’objet d’études précliniques. Femelle d’Aedes aegypti, moustique vecteur de la dengue, du chikungunya, de la fièvre jaune et de zika.

L’équipe d’Hugo Mouquet a identifié des dizaines d’anticorps monoclonaux neutralisant le virus de l’hépatite B, qui cause des atteintes du foie touchant 250 millions de personnes dans le monde. Si des vaccins sont disponibles, aucun traitement ne permet à ce jour la rémission d’une infection chronique. Les chercheurs ont également caractérisé plus de cent anticorps monoclonaux contre le virus de l’hépatite E, en vue d’un développement clinique chez les personnes immunodéprimées et les femmes enceintes. Virus de l’hépatite B (VHB). L’hépatite B chronique peut être à l’origine de cancer du foie et de cirrhose.

Qu’est-ce que l’immunothérapie peut apporter à la lutte contre le VIH ?

Les cellules immunitaires sont la cible du virus de l’immunodéficience humaine, affaiblissant les défenses de notre organisme contre les infections. Si des traitements antiviraux efficaces existent déjà, ils n’offrent pas de guérison totale et la charge virale augmente dès leur interruption. Les immunothérapies sont une piste prometteuse pour obtenir une rémission complète du VIH, en rendant nos cellules immunitaires plus aptes à le combattre.

Pr Michaela Müller-Trutwin
J’écoute le témoignage audio du Pr Michaela Müller-Trutwin,
responsable de l’unité VIH, inflammation
et persistance à l’Institut Pasteur.
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Seule une minorité d’individus vivant avec le VIH et sous traitement anti-rétroviral efficace peut espérer une rémission de l’infection, et un arrêt du traitement. Grâce à l’immunothérapie, nous espérons permettre à l’ensemble des personnes porteuses du virus d’atteindre cet état de rémission. Mon équipe et celle d’Asier Saez-Cirion travaillent ainsi sur deux pistes pour renforcer les réponses immunes de l’hôte contre le VIH.

Michaela Müller-Trutwin, responsable de l’unité VIH, inflammation et persistance à l’Institut Pasteur.

L’équipe d’Asier Sáez-Cirión a décrit comment les cellules immunitaires de certains patients, appelés « contrôleurs du VIH », étaient capables de maintenir la charge virale au plus bas. En laboratoire, les chercheurs ont ensuite reprogrammé des cellules de personnes non-contrôleuses pour leur conférer les propriétés des cellules de contrôleurs. Les caractéristiques acquises pourraient conduire à l’élaboration de thérapies cellulaires permettant d’obtenir une rémission du VIH, mais aussi d’autres pathologies comme le cancer. Lymphocytes CD8 (en rouge) de patients contrôleurs du VIH, en contact avec des cellules infectées par le VIH (en vert).

L’équipe de Michaela Müller-Trutwin a apporté la preuve de concept qu’une immunothérapie pouvait être associée à un traitement antiviral pour réduire la dépendance à celui-ci. Cette combinaison permet en effet à certaines de nos cellules immunitaires, les « tueuses naturelles » dont la maturation est bloquée par l’infection, de maturer correctement et de maintenir temporairement leur efficacité. L’immunothérapie a ainsi permis de limiter la réplication et la persistance du VIH même après l’arrêt du traitement antiviral, ouvrant la voie à de nouvelles stratégies thérapeutiques. Accumulation de particules de VIH (en jaune) à la surface d’une cellule infectée (en violet).

ANESTHÉSIES
Des anticorps pour réduire la durée des anesthésies générales

L’équipe de Pierre Bruhns travaille sur les deux curares les plus utilisés en anesthésie générale, permettant de bloquer notamment l’activité pulmonaire pour faciliter la chirurgie (patients intubés). L’objectif est de découvrir les anticorps qui permettraient de neutraliser le curare. Cela pourrait permettre la reprise de la respiration naturelle en 1-2 minutes, et donc une réanimation et désintubation très rapide du patient.

Pr Michaela Müller-Trutwin
J’écoute le témoignage audio du Pr Pierre Bruhns
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Laquelle de ces deux molécules est fabriquée par notre corps pour reconnaître et neutraliser les cellules anormales et les agents pathogènes ?
Je valide question suivante
Les lymphocytes, qui produisent les anticorps, sont communément appelés :
Je valide question suivante
Comment s’appellent les molécules caractéristiques d’une cellule ou d’un pathogène reconnues par les anticorps?
Je valide question suivante
Parmi ces maladies, laquelle/lesquelles l’immunothérapie, en stimulant nos défenses immunitaires, pourrait permettre de vaincre ?
Plusieurs choix possibles
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2014

Identification d'une nouvelle variante du virus Ebola en Guinée

2019

Nouvelles pistes contre le VIH/sida

2020

Séquençage du génome complet du coronavirus SARS-CoV-2

2021

Mobilisation de 500 chercheurs contre la Covid-19

2022

Développement d'anticorps monoclonaux contre le Sars-Cov2

2023

Découverte d'un nouveau virus de l'Hépatite humaine

2009

Mise au point d’un test de diagnostic rapide du nouveau virus de la grippe A (H1N1)

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2019

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2021

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